Chacune de mes peines est un corbeau accroché à ma veste,
Chaque corbeau se débat pour être libéré,
Chaque libération est une nouvelle énigme,
Chaque résolution me soulage d'un poids,
Mais un nouveau corbeau s'accroche à ma veste,
Et pour être libéré, il se débat.
Cooâh, quel est ce racisme anti noir ?, devant cette prise de bec, sur les conseils de mon voisin Lafontaine (le fabricant de fromages), je contacte maître Corneille pour faire valoir mes proies.
RépondreSupprimerLa veste en cuit noir est griffée, des cicatrices.
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup les corbeaux.. je les ai apprivoisés... ce sont eux qui picorent mes cheveux un à un.
en cuir.. :D..cuite c'est autre chose.
RépondreSupprimerMoi aussi je les aimes les corbeaux, comme symboles, comme logos de la peine, comme visions imagées... Et accessoirement comme oiseaux...
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